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Ataru

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Les articles publiés par Ataru

Les 5 derniers messages de Ataru

Contexte - 12/12 à 17:55:54  

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Assassin's Creed Shadows - Le Katana qui coupe...les performances

Après la très belle surprise Star Wars Outlaws l'été dernier sur la nouvelle console de Nintendo, on espérait que Ubisoft Québec avait bien dompté la bête pour son voyage au Japon féodal. Loin d'être sans défaut, Assassin's Creed Shadows bénéficiait d'une technique quasi-irréprochable sur PS5/Xbox. Mais sur Switch 2, le rêve de samouraï vire au combat désespéré contre le framerate et la résolution. Verdict d'un portage qui a eu les yeux plus gros que le dock.

Sur le papier, la promesse était belle : emporter le Japon féodal dans son sac à dos. Et soyons honnêtes, le fond du jeu reste exactement le même. L'alternance entre Naoe, la shinobi agile capable d'éteindre les sources de lumière pour se fondre dans l'ombre, et Yasuke, le colosse samouraï qui fracasse les armures, offre une dynamique de gameplay que la série n'avait plus connue depuis Syndicate. Le système de saisons dynamiques, qui gèle les étangs en hiver ou fait pousser les hautes herbes au printemps, change réellement l'approche des missions d'infiltration. Bref, dans son gameplay et son game design, Assassin's Creed Shadows reste le même. Le problème, c'est que tout ceci met la Switch 2 à genoux.

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Dès les premières minutes manette en main, le constat est sans appel : cette version Switch 2 d'Assassin's Creed Shadows est deux galaxies en-dessous de ses...

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Contexte - 05/12 à 11:07:23  

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Anno 117 - Un très bon cru

Après le triomphe d'Anno 1800, Ubisoft Mainz avait l'embarras du choix pour poser ses valises dans un nouveau contexte historique. Et c'est finalement dans la Rome antique, en pleine Pax Romana de l'an 117 après J.-C., que le studio nous invite à bâtir notre empire. Un choix qui tranche radicalement avec la révolution industrielle du précédent opus. Cette plongée dans l'Antiquité parvient-elle à captiver autant que son illustre prédécesseur ? Réponse après plusieurs dizaines d'heures passées à romaniser des provinces, ériger des aqueducs et serpenter dans les intrigues sénatoriales.​

La campagne d'Anno 117 nous propulse en l'an 117 après J.-C., au cœur de cette fameuse Pax Romana qui a permis à l'Empire de prospérer pendant près de deux siècles. On y incarne un jeune gouverneur romain fraîchement nommé, et exilé aux confins d'un empire en pleine expansion. L'histoire nous mène d'abord en Albion – la Grande-Bretagne actuelle – où l'on doit choisir entre romaniser les populations celtes locales ou respecter leurs traditions ancestrales.​ Ces choix ne sont pas juste cosmétiques. Romaniser ou préserver les coutumes locales influence directement le développement économique, l'accès aux ressources, et même les relations avec les différents empereurs qui dirigent Rome pendant notre progression. Une mécanique simple sur le papier, mais redoutablement efficace qui donne à chaque province une vraie personnalité.​ La campagne dure une...

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Contexte - 01/12 à 17:00:04  

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Marvel Cosmic Invasion - Le Avenger du beat'em up?

Dotemu n’en finit plus de nous abreuver de beat'em up. Après l'excellent Absolum, c’est au tour des super-héros Marvel d’avoir leur adaptation en gros pixels. Développé par Tribute Games, Marvel Cosmic Invasion se place dans la tradition des jeux d’arcade à l’ancienne, tout en offrant des petites nouveautés bienvenues. Mais ce cocktail détonnant sur le papier répond-il vraiment aux attentes ?

Un titre qui suinte les années 90

À l’image de TMNT: Shredder’s Revenge, l’écran titre plante d’emblée le décor : gros pixels, couleurs saturées et cinématique d’intro animée dessinée à la main, l’hommage aux plus grandes sagas cosmiques des comics Dan Abnett et Andy Lanning est assumé. Le jeu crie années 90, que ce soit par l’interface ou le choix des typographies, jusqu’aux bruitages au synthé des menus. De quoi régaler les vieux de l’époque bénie Megadrive/ Super Nintendo. Graphiquement, Marvel Cosmic Invasion opte pour un pixel art dans la même veine que Shredder’s Revenge. On reconnaît de suite la patte du studio dans le rendu et les animations des personnages. Mention spéciale aux arrière-plans animés qui multiplient les clins d'œil à l'univers Marvel : New York, Helicarrier du S.H.I.E.L.D., planète Sakaar, et bien d’autres. J’ai par contre trouvé les couleurs un poil trop criardes et saturées dans l’ensemble. Le scénario, comme beaucoup de jeux du genre, n’est qu’un prétexte à l’action : Annihilus...

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Contexte - 27/11 à 13:26:05  

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Call of Duty : Black Ops 7 - Mitigé

Chaque automne ramène avec lui un nouvel épisode de la franchise Call of Duty. Après un Black Ops 6 plutôt convaincant, la série tente un nouveau virage : campagne coopérative et revisitée, retour des classiques du multi, et un mode Zombies qui veut voir grand. Mais à force de vouloir plaire à tout le monde, ce Black Ops 7 ne se perd-il pas en chemin ?

Dès les premiers instants de la campagne, le ton est donné : ce n'est plus vraiment un solo, mais plutôt une expérience coopérative à quatre. Si on peut s’y aventurer en solitaire, le sentiment d’être esseulé est vite palpable. Les sections sont taillées pour le jeu en escouade et jouent clairement la surenchère absurde : robots, zombies, méchas, plantes géantes et gadgets sortis de nulle part… Difficile d’y reconnaître la patte “Black Ops”. Bien entendu, le jeu tente de justifier tout ce cirque par un élément scénaristique central : le Berceau, arme chimique provoquant des hallucinations ; a envahit la région. Mouais... On incarne David Mason, fils d’Alex, face à une menace terroriste incarnée par “La Guilde”, une organisation à la pointe de la technologie de guerre. Les quelques idées scénaristiques ou mécaniques intéressantes sur le papier (arbre de compétences, progression, extraction) sont vite englouties sous une avalanche de clichés, de sacs à PV et d’objectifs génériques. On a l'impression d'être face à un cahier des charges qui ne s'embarrasse pas trop de...

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Contexte - 26/11 à 14:17:29  

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Ouverture des decks de démarrage Lorcana "Lueurs dans les Profondeurs" - Parfait pour débuter?

Le nouveau chapitre Lorcana TCG, “Lueurs dans les profondeurs” est arrivé ce 7 novembre 2025. Comme d’habitude, deux decks de démarrage accompagnent cette extension. Ravensburger nous ayant gentiment fait parvenir ces produits, c'est l’occasion de tester ce nouveau set et ses nouvelles mécaniques. En bonus, une ouverture du coffret “démarrez votre collection”, avec quelques belles prises la clé.

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Decks de démarrage “Lueurs dans les Profondeurs”

Pas fou, Disney profite de la sortie du film Zootopia 2 pour intégrer des personnages dans le set. Judy Hopps, Nick Wilde ou encore Chief Bogo font ainsi leur apparition, en plus de protagonistes issus d’autres univers Gargoyles ou Taram et le Chaudron Magique. Le premier deck, Simba et Mégara (Ambre et Emeraude), impose un jeu rapide et agressif. Pas mal de cartes permettent de gagner beaucoup de lore assez rapidement, surtout en les boostant. Le boost est la nouvelle mécanique qui arrive avec ce set. Comme son nom l’indique, il permet de booster une carte sur notre terrain en plaçant la carte du dessus de notre deck en-dessous, face cachée (au maximum une par tour) moyennant un coût en encre. L’intérêt est double : déclencher des effets “à chaque fois que ce personnage est boosté”, et “ramper” en ajoutant des cartes utilisables plus tard. L’inconvénient, c’est qu’il faut...

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